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Sofia Teillet, chant, clavier
Antoine Pinquier, chant, guitare
Yannick Benoît, sax, clavier
Raffaëlle Bloch, percussions
Nicolas Desse, guitare
 Thomas Horeau, basse
Geoffroy Gesser, batterie 

La Dolce Vita est un groupe de reprise de musique italienne des années 60. Cette musique est un plaidoyer contre l'insignifiance.

La Dolce Vita joue principalement les tubes des années 60 de Rita Pavone à Adriano Celentano en passant par Dalida, Little Tony, Mina,

La Dolce Vita est une cité intérieure. Nous entendons surtout dire que, malgré tout, la vie a une douceur bien à elle, profonde et indéniable.





 
Concerts passés : 
2018 
Bar le 17, Paris (75)
2019 
Bar le 17, Paris (75)
Bistrot Culture, Ainay-le-Château (03)
L'îlot, scène nationale d'Ambert (63)
Le Bistrot d'Aillon (07)
Le café associatif de Vesc (26)
L'hydre, Crest (26)
2021 
Le Faitout, Montreuil (93)
Bar le 34, Paris (75)
2022 
Espace André Grieux, Rouen (76)
La Belle Maison, Bagnolet (93)
Le Faitout, Montreuil (93)
Bar le 34, Paris (75)
2023
Fury Bar, Rouen
Bal de l'AERI, Montreuil
Place des Fêtes, Paris
 
 

Biographie :

La Dolce Vita a vu le jour au cœur de l’hiver 2018, comme une tentative d’échapper aux langueurs de l’hibernation.
Mais La Dolce Vita
a déjà une longue histoire faite de fantasmes et d'expériences avortées. Sa gestation commence lorsqu’à l’issue des douze coups qui viennent d’enterrer l’année 2014, Antoine et Sofia s'avouent mutuellement leur amour pour le yéyé italien et conçoivent le projet insensé de transmettre cet amour au monde entier.
Quelques dizaines de semaines plus tard, première répétition dans la cave de Geoffroy, que l'on a parvenu, on ne sait plus comment, à convaincre de la viabilité d’une esthétique fondée sur l’imitation des plus grands artistes de l’âge d’or de la variété italienne.
La première répétition est un succès. Trois morceaux mis en boîte, une entente digne de la Squadra azzurra de Roberto Baggio, des pâtes à l’arrabiata ; le fantasme prend corps.
Puis plus rien. La Dolce Vita, mort-née, rejoint le cortège des possibles exclus qui nourrissent la nostalgie ordinaire.
Trois ans plus tard, le miracle s’accomplit pourtant et la machine est relancée en quelques jours. Enrôlement quasi forcé d'un saxophoniste talentueux, retraite de trois jours dans la cave et sortie de résidence triomphale devant un public d’élus, qui pourront dire à leurs petits enfants qu’ils y étaient.
Depuis, La Dolce Vita poursuit son entreprise de prosélytisme bienveillant en se produisant dès qu’elle le peut, partout où cela est possible (bar, mariage, crèche, zénith).
Patty Pravo et Edoardo Vianello. Mais comme la bonne musique n’appartient pas aux années 60, nous nous autorisons à piocher dans d'autres époques : dans les années 50 avec Renato Carosone, Fred Buscaglione ou Domenico Modugno, dans les années 70 avec Svalutation de Celentano et même, prudemment, dans les années 80 avec Rino Gaetano.
 
Contact : 
ladoclevitaparigi@gmail.com